Mon parcours
Au lycée, je me destinais à faire des études dans le domaine de la chimie. Au fur et à mesure je me suis rendu compte que le métier de chimiste n’était pas fait pour moi, il était bien trop « solitaire ». Ce qui m’animais vraiment, c’était d’aider et de m’occuper des autres. Le monde de l’enfance me passionnait également. Alors, j’ai décidé d’arrêter mes études de chimie et d’entreprendre une formation d’auxiliaire de puériculture et d’en obtenir un Diplôme d’État. C’est d’ailleurs lors de mes études d’auxiliaire de puériculture que j’ai découvert la sophrologie pour aider les enfants à gérer leurs émotions mais également les nôtres, personnels de la Petite Enfance.
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J’ai ensuite travaillé dans une crèche pendant 3 ans et demi et cela a été une expérience très enrichissante. Mais au bout d’un an, bien que j’aimais beaucoup mon métier, j’ai compris que pour me sentir totalement épanouie professionnellement, il fallait évoluer. J’avais envie d’aider encore plus les gens et d’avoir un soutien à la parentalité plus important. En début d’année 2019, je me suis donc mise à la recherche d’un autre métier pouvant mieux me convenir, dans lequel je m’épanouirai davantage. C’est à ce moment-là que la sophrologie est devenue une évidence pour moi. Les souvenirs de cette merveilleuse discipline me sont revenus et c’est alors que j’ai débuté ma démarche de reconversion professionnelle.
À 20 ans, tout juste après avoir été diplômée, j’ai travaillé en maternité (salle de naissance et suites de couches), un lieu où je m’épanouissais beaucoup. J’étais vraiment dans une relation d’aide, de soutien et de conseils. Au-delà de l’aspect des soins, j’aime énormément le côté « accompagnement ». J’ai bénéficié de reconnaissance des jeunes parents lors de leur séjour à la maternité. J’ai également apprécié le travail en équipe pluridisciplinaire, car j’ai eu l’occasion de travailler avec des aides-soignantes, infirmières puéricultrices, sage-femmes, médecins, psychologues, etc.